1 janvier 1

|

Pauline Barbier

Acheter un cheval : les 9 étapes avant un essai

Acheter un cheval reste loin d’être anodin tant cela implique des contraintes - de temps, financières, et également beaucoup d’énergie. Dans cet article, nous passons en revue les 9 étapes à suivre pour préparer votre premier essai.

Avoir son propre cheval ou poney… Voilà un évènement majeur dans la vie d’un cavalier ! Vous en avez rêvé pendant des années et aujourd'hui, ça y est, vous êtes bien décidé-e à sauter le pas ! Une fois cette décision prise, par où commencer pour trouver la perle rare ? Que vous soyez cavalier amateur ou cavalier professionnel, acheter un cheval reste un processus complexe, qui implique de nombreuses contraintes de temps, d'argent, et d’énergie. Dans cet article, nous allons passer en revue les 9 étapes à suivre pour préparer votre premier essai. On va parler budgetbilan d’achat, évoquer la question des assurances, et parler des modes d’achat, en direct à l’éleveur ou par ventes aux enchères… Alors si vous souhaitez préparer au maximum votre achat pour que celui-ci se déroule de la meilleure façon possible, cet article est fait pour vous !

 

En parallèle, afin d’aiguiser les cavaliers dans leurs recherches, nous avions réalisé en partenariat avec CityHorse, une écurie de sport, toute une série de vidéos disponible sur Youtube. Si vous êtes curieux d’en apprendre plus sur ce processus en vidéo, rendez-vous là-bas !

 

 

 

Nos conseils sur le sujet :

 

  1. Cibler sa recherche avant d'acheter son cheval
    2. Cerner ses ambitions de cavalier
    3. Définir son budget de propriétaire d’équidé
    4. Regarder les prix du marché du cheval
    5. Présenter son projet à un professionnel de la filière équine
    6. Prendre une assurance auprès de votre fédération
    7. Se renseigner sur d’éventuels vices
    8. La visite du vétérinaire équin
    9. Fixer un rendez-vous 

1. Cibler sa recherche avant d'acheter son cheval

Pour chercher le cheval de vos rêves, il existe de multiples canaux de vente :

  • les petites annonces sur Internet - la vente de particulier à particulier
  • les élevages
  • les écuries de commerce
  • les ventes aux enchères
  • la vente via un intermédiaire (sur commission) - souvent en passant par votre coach

Tous ces modes de vente impliquent un travail de fond et une recherche assez différente. Permettez-moi de vous donner mon humble avis sur chacun de ceux-ci, basés sur les expériences de mes clients ainsi que la mienne :

Les petites annonces sur Internet - la vente de particulier à particulier

Son gros avantage, c’est qu’en général les particuliers connaissent par coeur la vie du cheval et il est fréquent qu’ils effectuent la vente à contrecoeur. Ils vont donc sélectionner l’acheteur, et faire très attention à la maison dans laquelle leur cheval va atterrir (évidemment il y a pleins de contre-exemples, mais c’est pour vous donner une ligne générale). Ceci étant dit, il y a souvent des estimations de prix en dehors du marché (sur ou sous évalué…), et il y a à boire et à manger. Donc un gros tri d’annonce sera nécessaire en amont. 

 

Quelques sites utiles :

 

Les élevages

On vient en général tôt dans la vie du cheval lorsqu’on passe par l’éleveur. On aura donc facilement tout l’historique du cheval, peut-être même qu’on pourra voir sa mère, où il est né et où il a grandi. On saura facilement ce qu’il a mangé, comment il a été sevré… Bref, autant d’informations précieuses. 

Les écuries de commerce

Ici, tout dépend de l’état d’esprit de l’écurie en question. Le problème principal des écuries de commerce, c’est que souvent, les chevaux n’ont pas un historique très précis. Ils ne doivent pas rester trop longtemps car leur présence coûte de l’argent au vendeur. On peut donc voir quelques dérives, des chevaux mis vite “ronds” à l’aide de méthodes pas toujours très chouettes, une gestion parfois au coût minimum qui n’est pas non plus génial pour la santé des chevaux. Mais, encore une fois, il existe pleins de contre-exemples : il y a heureusement des écuries de commerce ont une vraie démarche et volonté de vendre le bon cheval au bon cavalier et qui ne font pas d’économies sur leurs chevaux. Il faudra donc faire un tri en essayant de comprendre quelle est la mentalité du gérant de l’écurie avant de vous rendre sur place.

Les ventes aux enchères

La vente aux enchères est souvent réservée aux professionnels, et, je vais être franche, je pense qu’elle ne convient pas à 99% des cavaliers, même professionnels. On base tout le jugement sur le look et le déplacement du cheval. Côté tempérament, on ne peut pas vraiment savoir ce que ça donnera, puisque le cheval est dans un environnement inconnu sur un laps de temps très court. D’ailleurs, le stress engendré a tendance à “valoriser” la locomotion des chevaux qui se déplacent comme des avions de chasse - peut-être que calme, à la maison, il n’aura jamais ce brillant. Ensuite, les prix sont souvent très élevés. Bref, si vous avez envie de vous amuser et que vous avez beaucoup d’argent (ou que vous êtes très habitués à acheter ainsi) allez-y. Sinon, je déconseille.

La vente via un intermédiaire (sur commission)

Ici, c’est un professionnel de la vente du cheval ou plus simplement votre coach qui va sélectionner pour vous des chevaux mis en vente. Il utilise son réseau de revendeurs, d’éleveurs, de professionnels en tout genre pour effectuer la recherche à votre place. En échange de cette pré-sélection censée être très qualitative, il prend une commission sur la vente. De mon point de vue, si vous trouvez un très bon accompagnant, c’est un excellent moyen d’avoir accès à des adresses de grande qualité et à une sélection faite sur mesure. Cependant, attention : de nombreuses histoires courent les rues de montants de commissions astronomiques et parfois cumulatives, et ce, dans l’ignorance totale de l’acheteur - et parfois même du vendeur. Idéalement, choisissez donc votre intermédiaire sur recommandation.

Une question de niveau équestre global

Afin de correctement cibler votre recherche, il faut commencer par établir quel est votre niveau actuel. Votre rêve initial peut vite tourner au cauchemar si vous ne prenez pas le temps de bien comprendre qui vous êtes en tant que cavalier. Sortez-vous en compétition ? Si pas, référez-vous aux niveaux fédéraux. Si vous peinez à orienter votre niveau, faites un bilan avec un coach afin de savoir à quoi il correspond. Attention, ne surestimez pas votre niveau : plus vous serez réaliste vis-à-vis de celui-ci, meilleure sera votre recherche. En effet, avoir un cheval trop difficile pour son niveau technique et de gestion du cheval peut vraiment mener à des situations dangereuses et très compliquées émotionnellement. On vous recommande vivement d’être sincère avec vous-même pour vous assurer que cet achat de cheval mène à des moments de passion, de fun et de plaisir. 

 

Le niveau technique est une chose, certes… Mais qu’en est-il de votre niveau de connaissance et de gestion du cheval

 

Quand on est propriétaire du cheval, monter ne représente qu’une petite partie de l’équation… Comment faire les bons choix pour les 23 heures restantes pendant lesquelles votre cheval n’est pas en carrière avec vous ? Comment orienter vos choix en matière de ferrage, de soins vétérinaires, entre tous les discours parfois diamétralement opposés de professionnels pourtant tous réputés et légitimes ? 

 

Si vous n’êtes pas sûrs de vous de ce côté-ci, mieux vaut faire le point. Avez-vous connaissance des besoins fondamentaux de l’espèce équine ? Connaissez-vous les maladies fréquentes et comment gérer celles-ci ? Avez-vous accès à une offre de pensions qui proposent des formules correctes par rapport aux besoins des chevaux ? Si vous vous posez toutes ces questions, sachez que c’est en pensant à vous que Blooming Riders a notamment été créé : pour aider les propriétaires ou propriétaires en devenir à faire les bons choix. 

 

2. Situer ses ambitions de cavalier

Une fois votre niveau correctement évalué, il est temps d’être une fois de plus honnête avec vous-même et de définir quelles sont vos ambitions ! Chaque cavalier a un grand rêve, et parfois, on n’ose pas se l’avouer. Pensez à votre grand rêve, votre objectif, et encore une fois, passez-le en revue avec un coach pour voir s’il est réalisable avec le bon cheval.

 

Si vous êtes centré sur une discipline bien définie et que vous ne souhaitez pas sortir de ce cadre, ça sera relativement simple… A condition que vous ayez conscience des budgets. Mis en parallèle avec votre niveau (technique, de gestion du cheval, etc.), vous avez également une réflexion à mener sur le niveau d’éducation du cheval. Un jeune cheval, par exemple, coûtera moins cher parce qu’il a littéralement représenté moins de charges, mais également parce que son niveau de “dressage” technique est inférieur et a donc nécessité moins de temps ou de compétence qu’un cheval prêt pour les Juniors. Cependant, choisir un jeune cheval - voire, comme on voit de plus en plus souvent, un cheval non débourré - ne doit pas être orienté par la seule question du budget… Eduquer et démarrer un jeune cheval sous la selle est de loin l’un des exercices les plus difficiles. Si faire des erreurs fait partie du processus normal de tout cavalier, faire de grosses erreurs sur un jeune cheval risque, non seulement, de vous mettre en danger, mais aussi de marquer ce cheval à vie. Soyez donc réaliste et sincère face à vos ambitions : si vous souhaitez “faire” un cheval dès le début, assurez-vous d’en avoir le niveau ou d’être bien accompagné

 

Si vous souhaitez atteindre un certain niveau de compétition ou simplement d’équitation, vous saurez vers quel type de cheval vous diriger… Et donc vers quels budgets vous orienter. En effet, le coût que représente un bon cheval de sport amateur est incomparable à celui d'un bon cheval de loisir avec la couleur qu’on aime bien. Vous pouvez aisément trouver un cheval très correct pour une approche polyvalente de niveau plutôt restreint sous 10.000€. Mais ce sera bien plus compliqué si vous souhaitez évoluer sur du 120/130 cm avec un cheval ayant le bon mental pour un niveau amateur. Dans ce cas-ci, il faudra généralement regarder au-delà de 10.000€… 

 

En outre, le mode d’achat du “type” de cheval correspondant à vos ambitions risque également de varier fortement. Les sphères loisir/polyvalence vous orienteront bien plus vers des élevages ou des particuliers, tandis que les sphères compétition/sport vous mèneront plutôt vers une vente par intermédiaire, les petites annonces, les particuliers, ou des écuries de commerce correctes. 

Quelques liens utiles :

 


3. Définir son budget de propriétaire d’équidé

Vos ambitions vont définir vers quel budget il faut se diriger, nous l’avons vu. C’est maintenant qu’il va falloir mettre en balance votre budget réel (l’argent que vous êtes prêt à mettre dans ce projet), et celui qui correspond à vos ambitions (le prix d’un cheval capable d’exécuter un Saint Georges, ou sauter 120 cm, par exemple).

 

Le budget doit inclure :

 

  • le cheval, ça on est bien d’accord
  • son matériel
  • le vôtre
  • le transport
  • 1 à 2 visites vétérinaires
  • son assurance
  • Et un peu d’épargne en cas de pépin (une denrée très commune malheureusement avec les chevaux)

 

Prenons le temps de développer. Le cheval, ce n’est qu’une partie de votre coût. Celui-ci représente ce qu’il a coûté à son éleveur, puis aux diverses parties l’ayant entretenu. Ce prix va de la saillie, du coût d’élevage, jusqu’à tous les coûts vétérinaires, les soins, l’aliment, les éventuelles locations de prairie ou une fraction du coût de la structure d’hébergement… Ainsi que tous les coûts liés au “travail” d’éducation et d’entraînement du cheval. Ensuite, si le cheval possède un potentiel sportif particulier, ou bien s’il a un look particulièrement “beau” aux yeux du marché (le marché = les gens qui veulent acheter des chevaux), une couleur rare et recherchée, il prendra de la plus-value intrinsèque. S’il n’a aucun “vice” connu, c’est tant mieux ; s’il en a, comme par exemple tiquer à l’appui, il peut arriver que le budget baisse un peu. 

 

La question de l’équipement est également vaste et individuelle. Certains cavaliers estiment qu’il faut être sappé comme jamais pour être digne, et dans ce cas-là, n’oublions pas que tout équipement défini comme équestre possède immédiatement une marge importante. En d’autres mots, ça coûte une blinde. Du casque en passant par les bottes, les pantalons, les vestes d’hiver, d’été, les gants etc...ça monte très vite. Puis, il y a la question de la selle, de la sangle, du filet, du coût éventuel d’un saddle-fitter, d’une ou plusieurs séances de bit-fitting, les protections, les couvertures, licols, tapis… Si en plus, vous comptiez bien les adapter, ça ne sera pas gratuit. Intégrez-le dans votre budget.

 

Le transport de votre nouveau cheval jusqu’à l’écurie peut être vu de plusieurs façons. Vous avez un transport (un van, un camion), alors tout va bien. Si vous n’en avez pas, il faudra soit louer, soit payer les services d’un transporteur. 

 

La visite vétérinaire d’achat : le grand sujet suprême. Une bonne visite d’achat complète peut vous mener aux 1000€ sans problème. L’enjeu réside en une chose : combien devrez-vous en faire ? Si la première visite ne passe pas, vous allez repartir à la recherche d’un nouveau cheval… Pour reproduire une nouvelle visite d’achat. En résumé, anticipez la possibilité de devoir faire plusieurs visites d’achat au cas où. Spoiler : se passer de la visite d’achat pour faire des économies revient à la même idée que jouer au loto en espérant devenir millionaire. Je vous laisse lire les statistiques.

 

Assurer son cheval est également un vaste sujet qu’on développera dans un futur article. En résumé, il y a plusieurs écoles : celles qui assurent et celles qui épargnent. Sachez également que l’offre n’est pas la même en Belgique qu’en France - les Français sont mieux servis. Généralement, la question de l’assurance est dépendante de votre capacité d’épargne ainsi que du prix initial de votre cheval. Je vous laisse explorer les options proposés par les assureurs.

 

- Belgique : Catherine de Buyl et Watinco
- France : Cavalassur et EquiGenerali

 

A présent, il est temps de comparer ce budget aux prix du marché.

 

4. Regarder les prix du marché du cheval 

Passez un peu de temps sur les sites d’annonce correspondant à votre cheval "idéal"… Vous verrez rapidement quelle est la moyenne de prix à laquelle un tel cheval est vendu. Appelez quelques intermédiaires si vous avez reçu de bonnes recommandations. Avec toutes ces informations, vous parviendrez à estimer une fourchette raisonnable et réaliste. 


 

Votre budget est-il en relation avec ces prix-là ?

 

Si oui, tant mieux. Si ça n’est pas le cas, il est toujours temps de revoir vos ambitions à la baisse et de passer votre projet en revue pour voir comment vous pouvez l’adapter. Il existe toujours, le temps de réunir ce budget, la possibilité de fonctionner avec des demi-pensions. Cela permettra aussi d’affiner votre recherche et de mieux cerner quel cheval vous recherchez.

De mon côté, j’avais pour objectif très clair d’acheter un jeune cheval de dressage. L’ambition de départ était de débourrer moi-même mon cheval, car c’est une partie de mon métier et que je voulais avoir un contrôle clair sur cet élément. Ensuite, est venue la question de mes besoins : un foal de 6 mois est certes nettement moins cher, mais cela pose plusieurs problèmes : 

 

- Difficile de savoir comment le poulain va grandir… En termes de conformation, locomotion, caractère, santé, c’est une grosse prise de risque.
- Trouver un bon hébergement adapté à un poulain, c’est loin d’être simple.
- C’est plus de temps à attendre que ce poulain puisse être prêt pour travailler sous la selle.
- C’est également plus d’argent à entretenir ce cheval.

 

Mon projet n’était pas celui d’un poulain, mais celui d’un jeune cheval bientôt prêt pour le débourrage. Par conséquent, j’ai visé des chevaux de 3 ans. Ils sont déjà bien développés, ce qui favorise un meilleur jugement de leur locomotion, conformation et tempérament, ainsi que de la santé. J’ai vite réalisé que cela dépassait mon budget. Alors, j’ai échangé l’argent que je n’avais pas contre du temps : j’ai visé les 2 ans, qui entraient tout juste dans mon budget. En échange, j’attends simplement plus longtemps que la jument que j’ai achetée soit physiquement et mentalement prête à démarrer le débourrage. Ceci étant dit, je vais probablement attendre presque deux années pleines depuis son achat sans la monter. Je le souhaitais et je pouvais me le “permettre” puisque je travaille dans les chevaux et que j’en ai déjà deux. Question donc très individuelle, mais c’est ainsi que j’ai pu ajuster mon budget aux prix du marché.

 

5. Présenter son projet à un professionnel de la filière équine

Notre recommandation, c’est de réunir quelques annonces qui conviendraient et de les présenter à un professionnel de confiance, votre coach ou tout autre accompagnant. L’objectif ? Que son regard d’expert permette encore de poursuivre le tri des annonces. Plus il y a de vidéos, mieux c’est ! Les photos permettent malheureusement trop de “triche” même non voulue dans les angles et dans la lumières, elles ne permettent pas autant de représenter la réalité que plusieurs vidéos sans montage idéalement. 

 

Plus une recherche est ciblée, mieux celle-ci est préparée, et moins vous perdrez de temps sur les routes à essayer trop de chevaux qui, finalement, n’entrent pas dans les cases. Ceci étant dit, le coup de coeur n’est pas à négliger - on n’est pas des robots… La seule recommandation à suivre à la lettre concerne la santé et la visite d’achat

 

6. Prendre une assurance auprès de votre fédération

Avant d’aller essayer un cheval, pensez à vous assurer en prenant une licence auprès de votre fédération (FFE pour la France, LEWB pour la Belgique) ! Le système est simple : en passant par un club ou un professionnel, vous commandez une licence qui assure votre pratique de l’équitation. Ceci évite tout conflit si un essai engendre un incident et vous protège. Celle-ci sera de toutes façons valable une fois votre cheval acheté.

7. Se renseigner sur d’éventuels vices

Une fois que vous avez entamé votre sélection, il est temps d’appeler les annonceurs et les vendeurs pour prendre plus d’informations sur le cheval.
On vous recommande notamment de demander si le cheval a des vices ou des stéréotypies : tic à l’air, à l’ours, autre souci… Ceci permet de venir en pleine connaissance de cause.

 

8. La visite du vétérinaire équin

Acheter son cheval, c'est aussi passer par la case visite véto ! Certains vendeurs ont déjà fait réaliser une visite vétérinaire. Si c’est le cas, pensez à la demander afin de voir ce qui a été réalisé lors de la visite et de passer celle-ci en revue. Attention à l’objectivité des visites… Il n’est pas rare d’observer quelques biais dans une visite faite préalablement. Dans l’idéal, appelez un autre vétérinaire de confiance pour que celui-ci vous aide à identifier les points forts ou faibles éventuels, et qu’ils vous fournisse un conseil objectif. 

Sinon, pensez à appeler un vétérinaire compétent afin de préparer une possible visite. Dans l’idéal, procédez par recommandation afin de vous assurer de la compétence et de l’objectivité de la visite d’achat.

Si le processus vous intéresse, on a réalisé un vlog lorsque j'ai fait faire la visite d'achat de Diosa, la jument dont je vous parlais ci-dessus :

 

 

9. Acheter son cheval : fixer un rendez-vous

9ème et dernière étape : il est temps de fixer des rendez-vous avec les chevaux que vous avez toujours dans votre sélection !
Rendez-vous au prochain article, dans lesquels on parlera du déroulement de l’essai.

Pour terminer, voici une petite vidéo dans laquelle je me fais un plaisir de souligner les éléments essentiels à prendre en compte avant de se lancer dans l'aventure d'acheter un cheval.

 

 

Infos additionnelles :

Blooming Riders Logo

Bienvenue sur la première platforme de cours vidéo sur l’éducation, la gestion et l’entraînement de ton cheval.

Navigation

Téléchargez notre app mobile

Google-Store-buttonApp-Store-button

Copyright © 2018 - 2022 Blooming Riders, all rights are reserved. | Termes & Conditions | Politique de confidentialité